lundi, décembre 18, 2006

How did you learn about your HIV positive status and how you caught the disease?

Pierrette suspected that her husband was HIV positive when he began having fevers and chronic illnesses. As her husband’s health wasn’t improving, her in-laws decided to take matters into their own hands. The sick man, was taken to the town of Dolisie by his sister and his wife. When they arrived at Dolisie, the he was hospitalized and the doctor requested an AIDS test for him. The results were positive but the doctor didn’t inform Pierrette. Only the patient and his sister were told.

Even though Pierrette hadn’t learned much about her husband’s illness, her sister-in-law’s unusual behavior made her suspicious. However, the other patients in the hospital did know and were astounded by Pierrette’s ignorance.

Her sister-in-law’s behavior combined with the odd behavior of the other hospital patients around her led Pierrette to demand an explanation from her and her sister-in-law told Pierrette that both she and her husband were HIV positive. The news upset Pierrette so much that she immediately returned to Pointe-Noire, intending to be tested for HIV but despite all she had been through Pierrette couldn’t work up the courage to be tested. Two months later, she began succumb to the effects of the disease and the stress of her traumatic experiences.

Wanting to finally confirm the state of her health, Pierrette got the test, which revealed that she was HIV positive. Since then, she has been on ARVs from the local AIDS Mobile Treatment Centers (CTA or Centres de Traitement Ambulatoire) and has otherwise been leading a normal life. Pierrette is living proof of how quickly one can succumb to AIDS if one isn’t mentally prepared but she also shows others that accepting the realities of the disease allows people to live dignified long lives.

For more information our HIV/AIDS projects in Pointe-Noire please follow this link.
http://www.azurdev.org/en/pwith.htm

jeudi, décembre 14, 2006

Arriver à faire face aux regards des autres quand on vit avec le VIH

Lutter contre le Vih/Sida c’est aussi faire face à la stigmatisation et ne pas croire que la maladie du Sida est liée à la sorcellerie ou au mauvais sort.

Par ailleurs, pour vivre longtemps avec le vih, ont dit les participants, il est nécessaire pour les personnes infectées de prendre conscience de leur état sérologique.

Accepter la maladie est un pas de franchi dans la lutte contre le Vih/Sida. Ensuite arriver à combattre ou dominer le regard des autres. Les personnes vivant avec le Vih/Sida doivent elles mêmes vulgariser la maladie ou la démystifiant car le sida est comme toute autre maladie à quelques exceptions près.

Le Vih/Sida bien qu’il soit une maladie, elle a un lien étroit avec le psychisme, la psychologie.

Arriver à faire face aux regards des autres, reconnaître sa maladie et suivre le traitement convenablement permettent à une PVVIH (personne vivant avec le Vih/Sida) de vivre aussi longtemps qu’une personne séronégative.

Une personne séropositive a le droit de mener une vie sexuelle normale en utilisant obligatoirement le préservatif. Etre séropositif n’exclut pas les relations sexuelles. Cependant la prudence est de mise. Beaucoup ont tendance à penser qu’il n’y a pas de danger d’avoir de rapports sexuels non protégés entre deux personnes infectées par le Vih. Les virus du Sida sont différents d’un individu à un autre. Il y en a à des degrés divers. Un virus plus puissant en contact avec un autre moins puissant conduit à vite affaiblir les anticorps d’un des partenaires. Et par conséquent, on développe vite la maladie.

La diversité des virus du Sida se reconnaît simplement par la différence des molécules des ARV (Anti rétro viraux). Toutes les personnes sous ARV ne prennent pas les mêmes médicaments.

Voilà quelques exemples et réactions parmi tant d’autres soulevés lors du groupe de parole du samedi 09 décembre.

Harvel Boko Boungou
AZUR Développement Pointe-Noire
dalida_hgolden@ yahoo.fr

Comment vivre longtemps avec le VIH ?

Louise, âgée de 50 ans a souffert des fièvres à répétitions et se questionnait allant même à douter de sa probable sérologie car cela remonte de 12 ans qu’elle n’avait plus eu des rapports sexuels avec un homme. Elle ignorait qu’on peut vivre plus de 12 ans avec le virus du Sida dans le corps sans s’en rendre compte. Après examen, elle était déclarée positive.

Mais avant cela, elle a contacté plusieurs tradi praticiens y inclus des féticheurs et pasteurs dans les groupes de prières informels (kizinga). Tous ou presque évoquaient la sorcellerie et le mauvais sort. Ces consultations l’ont coûté chères.
On lui conseillait d’aller invoquer les mânes des ancêtres au cimetière pour qu’elle trouve la guérison.

« Le test dépistage du VIH qu’elle avait fait a révélé sa sérologie. Actuellement, elle est sous traitement des ARV. Par ailleurs, Elle a remercié AZUR Développement pour son initiative de la soutenir en payant les médicaments au Centre de Traitement Ambulatoire pour elle pendant quatre mois. »

Quant à Nina, elle a longtemps souffert de la tuberculose. Lorsque ses amis l’ont conseillé à faire le test du Sida, elle avait pensé qu’ils voulaient de sa mort. Après avoir été persuadée, et sentant la mort prochaine, elle l’a fait. Aujourd’hui elle vit avec le virus mais seule sa grande sœur est au courant de sa sérologie dans la famille et son entourage proche. Elle la garde secret de peur d’être discriminée.

Comment vous avez su votre sérologie et la manière dont vous l'avez perçue ?

Pierrette avait suspecté la sérologie de son mari du fait qu’il avait des fièvres et maladies à répétitions. Comme la santé de son mari ne s’améliorait pas, sa belle famille a décidé de tirer au clair cette situation. Le malade, accompagné de sa sœur et son épouse se rendirent à Dolisie. A leur arrivée à Dolisie, le malade fut hospitalisé et le médecin lui demanda de faire le test de dépistage du Sida. Les résultats s’avèrent positifs et le docteur n’avait pas informé Pierrette. Seuls le concerné et sa sœur furent tenus au courant de la sérologie.

Bien que Pierrette n’avait pas l’information au sujet de la maladie de son mari, elle soupçonnait les réactions de sa belle sœur qui n’étaient pas du tout normales. Cependant, d’autres malades de l’hôpital avaient cette information et semblaient être stupéfaits de l’ignorance que Pierrette faisait preuve.

Le comportement de sa belle sœur y compris l’attitude d’autres malades de l’hôpital ont amené Pierrette à demander des explications chez sa belle sœur. Cette dernière a fini par l’annoncer qu’elle et son mari étaient séropositifs. Cette nouvelle l’a tellement traumatisée à tel point qu’elle est vite rentrée à Pointe-Noire pour faire le test. Malgré tout, elle n’eut pas ce courage et deux mois après, elle a commencé par développer la maladie du fait du traumatisme.

Voulant finalement se rassurer de son état de santé, elle finit par faire le test qui se révéla positif. Depuis lors, elle est sous traitement ARV au CTA et mène une vie normale. Elle a tenu à témoigner pour montrer aux autres comment l’on peut vite mourir à cause du VIH/SIDA si l’on n’est pas préparé psychologiquement mais également accepter la maladie permet de vivre dignement et le plus longtemps possible.

Pour plus d'infos sur notre projet VIH/SIDA à Pointe-Noire, allez sur ce lien
http://www.azurdev.org/fr/pwith_quoideneuf.htm

jeudi, décembre 07, 2006

Comment aider au développement du Congo à travers Internet ?

C’est l’expérience de Anastasia Koutalianos, une traductrice volontaire internationale avec AZUR Développement depuis 2005. Elle nous dit ici comment cela a changé sa vie.

1. Vous avez décidé de mettre vos aptitudes à la disposition d'AZUR
Développement pour la traduction des documents anglais/français ou vice
versa. Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à le faire
?


Pour plusieurs raisons. Premièrement et tout d’abord, je crois au travail qu’AZUR Développement fait. D’une note plus égoïste, toutefois, cela me permet de contribuer à une cause plus grande que moi-même tout en exerçant une profession que j’aime.


2. Est-ce que votre compréhension des problèmes auxquels sont confrontés les femmes et les enfants en Afrique s'est améliorée depuis que vous faites les
traductions pour AZUR Développement. Veuillez expliquer.

Certainement. Bien qu’ayant étudié les politiques africaines à l’université, c’est toujours une ouverture des yeux d’examiner les questions d’un point de vue extérieur. Dans cette optique, j’ai gagné une plus grande vision de l’expérience Congolaise.

3. Comment AZUR Développement pourrait rendre votre expérience de volontaire plus enrichissante ?

Peut-être être capable de traduire des brochures, rapports ou les discussions en ligne, qui atteindront une audience plus globale. Ou AZUR Développement peut fournir des opportunités de stage en Afrique où les volontaires peuvent gagner de l’expérience de première main sur les questions affectant l’Afrique de l’ouest plus spécifiquement.


4. Les contacts réguliers avec AZUR Développement se passent uniquement sur
Internet, est-ce que cela constitue un frein dans l'accomplissement de votre
service. Veuillez expliquer et faire des suggestions
.

Pas du tout. Inévitablement avec le changement de temps l’Internet est peut être le seul moyen de se connecter. A ce sujet, je ne peux suggérer d’autres moyens efficaces de communiquer.

Apprendre davantage sur l’Afrique en traduisant des textes

Carly Hill est l’une des dix traducteurs volontaires internationaux. Elle est américaine et nous parle de son expérience avec AZUR Développement.

1. Vous avez décidé de mettre vos aptitudes à la disposition d?AZUR
Développement pour la traduction des documents anglais/français ou vice
versa. Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à le faire
?

J'ai décidé de faire des traductions pour AZUR parce que j'ai voulu
pratiquer le français et aussi pour apprendre plus sur des activités des
ONG a l'Afrique.

2. Est-ce que votre compréhension des problèmes auxquels sont
confrontés les femmes et les enfants en Afrique s’est améliorée depuis que vous faites les traductions pour AZUR Développement.

Oui. Par exemple, avant que je trouve votre site web, je ne connaissais
rien sur les pygmées au Congo.

3. Comment AZUR Développement pourrait rendre votre expérience de
Volontaire plus enrichissante ? Les contacts réguliers avec AZUR Développement se passent uniquement sur Internet, est-ce que cela constitue un frein dans l’accomplissement de votre service. Veuillez expliquer et faire des suggestions.

Avoir les contacts sur l'internet ne me donne pas des problèmes.

Les élèves de Los Angeles aussi solidaires que les stars !

Céline Schneider, est une enseignante des classes de 5e et 4e au lycée Français de Los Angeles aux Etats-Unis. Sous son leadership, plus d’une vingtaine d’élèves se sont engagés depuis une année dans un projet de solidarité et d’échange culturel avec les élèves du Congo. Plus de 100 élèves à Brazzaville ont bénéficié de ce projet, notamment ceux de l’Ecole L’Excellence à Bacongo, Notre Dame du Rosaire au Plateau des 15 ans et à Bacongo ; et l’école de l’AJDT à Kombo.

Céline s’est prêté aux questions de notre collègue Marc Foukou, Chargé du suivi des projets et Assistant à la communication.

1. Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à travailler pour un projetde solidarité et d’échange culturel avec AZUR Développement et lesélèves du Congo depuis une année ?

En cinquième, dans le programme français de l'éducation nationale, les élèves étudient les continents en géographie et les notions de solidarité et
d'égalité en éducation civique. Le programme est très intéressant mais
souvent théorique, les supports utilises sont des documents, des reportages.
Nous avions envie avec les élèves de nous engager, de partager et d'apprendre autrement.

Quand nous avons découvert Azur grâce a votre site internet, nous avons été séduits par vos actions, elles correspondaient a ce que nous recherchions.

Ensuite, nous avons été très touches de la manière avec laquelle vous vous êtes engagés auprès de nous depuis une année. Vous nous avez aidé à construire notre action de solidarité mais vous avez également contribué à enrichir notre programme par vos courriers, DVD et photos.

Nous recherchions ce partage et ce travail pédagogique pour nos
élèves. Nous voulions qu'il y ait contact et suivi, et vous avez répondu
présent à nos attentes. Nous vous en sommes très reconnaissants. Cette année
le partage avec les élèves du Congo a pris de l'ampleur, nous sommes ravis
que les enfants soient dans les mêmes classes et que nous puissions échanger
aussi des idées pour bâtir des programmes d'enseignement commun.

2- Vous avez supervisé les activités de ce projet avec les enfants du LycéeFrançais de Los Angeles. Dans quelle mesure, ce projet a permis aux élèvesde votre Lycée d?avoir une meilleure idée des questions de développementen Afrique ?

Ce projet a tout de suite été adopte avec enthousiasme par les élèves du
Lycée. Ils avaient envie de mettre en pratique leurs connaissances
théoriques.

Cette action leur amène du concret, quand il regarde une carte
de l'Afrique, il repère tout de suite le Congo. Votre pays est une base
d'études pour nous, le cours s'appuie sur les réalités du Congo. Par les
actions que vous entreprenez, les élèves ont une meilleure vision des enjeux
du développement en Afrique aujourd'hui
.

Et puis, ils sont heureux de pouvoir donner des livres et de savoir qu'au Congo ils ont des liens directs d'amitié avec vous et leurs camarades de l'école Notre Dame. Ils attendent de vos nouvelles avec impatience et sont curieux de connaître votre pays, votre culture.

Le fait d'avoir la langue française en commun leur montre aussi l'importance de leur apprentissage du français au Lycée, beaucoup de nos élèves étant de langue maternelle anglaise. Leur autonomie sur l'organisation et la gestion du projet a été renforcée tout au long de l'année.
En tant qu'enseignante, j'apprécie beaucoup les échanges que j'ai avec vous,
ils enrichissent ma manière d'enseigner.

Merci pour votre considération

What it means to be an HIV-positive woman without support!

Marina [name has been changed to protect her identity] is frail. She suffers from cramps, and sores in her nostrils. She will benefit from antiretroviral [ARV] treatments provided by AZUR Développement [AZUR Development].

Marina is penniless and hence a member of the association ESPOIR, who supports those living with HIV/AIDS, was compelled to give her 2000 CFA francs (or $4US) for the consultation with and transportation to Pointe Noire’s Ambulatory Treatment Centre [ATC], where those infected with AIDS are treated. Only her youngest sister knows of her serology. She was tested positive in 2004. Her lover died in 1992.

Her family cannot help her as Marina lives in the lowlands towards a backwater full of mosquitoes. She sleeps on a used mattress. She was once a housekeeper for European expatriates and later for Congolese living in the city.

If she were in better health she would be able to sell merchandise at the market in Nkouikou.

Fanny [name has been changed to protect her identity] is paralysed and lost her memory at the age of 30. The disease has overwhelmed Fanny; hence, her family is taking care of her two children. During our team’s visit in Pointe-Noire, she had difficulty speaking clearly.

According to her family, she has great difficulty speaking. Thanks to our visit though, she recognized the ESPOIR member and was able to express herself.

“In fact, thanks to the visit she was able to find some of her faculties. She also suffers from arterial hypertension.”

“Tomorrow we are continuing our home visits.”

To support women and children living with HIV/AIDS in the Congo, please go to:
http://www.azurdev.org/en/pwith.htm

HIV/AIDS, simple acts that evoke hope

At least 1,500 people are infected with HIV/AIDS each year in the city of Pointe-Noire. AZUR Développement [AZUR Development] with the support of Help the Hospices has initiated a project to aid 100 people living with HIV/AIDS, primarily women, in Pointe-Noire.

Here are real stories recounted by our team in the field who are bringing support to the beneficiaries of this project.

“This morning, we are going to visit four people living with HIV/AIDS - three women and one man”, said the project’s manager.


Josée [name has been changed to protect her identity] is in her fifties. Her lover was once hospitalised and when sent to hospital was administered an HIV/AIDS test. Faced with his own health, he returned home only to pack all of his things and leave.

She learned of her own serology at the hospital and was quite traumatised. The doctor, not being prepared, had great difficulty in announcing all her clinical results. He hid the fact she was HIV-positive. Thanks to the insistence of her youngest sister, the doctor sent the two to the Ambulatory Treatment Centre [ATC], where those suffering from AIDS are treated, along with a letter of recommendation but without the results. It was at ATC that Josée retook the test and was told she was HIV-positive. She has been undergoing treatment since 2001.

She lives with her 33-year-old son – he’s a mechanic. Her former lover is a soldier. They run into each other at ATC but have not spoken since the day he packed his bags and left.

She has a small kiosk and would like to start selling other products so to maintain an active lifestyle.

The widowed 40-year-old man has eight children, three of whom are in his care. His name is Maurice. He has been on the antibiotic bactrim since 2002; his wife passed away in December 2003. He does nothing except sell kalaba clay, which comes from the Kinshasa region. At times he sells salted fish; however, due to lack of resources he has abandoned his small trade. If supported, he could do some truck farming. His parents do not know of his serology; only his brother-in-law and one of his younger brothers occasionally come to help him.

He fears being discriminated. Maurice tries to take care of himself by applying the nutritional advice he received at group talks organised by AZUR Development and the association ESPOIR.

“He lives like all four people visited – in a dwelling made of wood planks.”

mercredi, décembre 06, 2006

Célébration de la journée mondiale du VIH Sida

Le premier décembre est traditionnellement une date symbolique dans la lutte contre le sida, et permet chaque année de rappeler la triste réalité de cette pandémie dans le monde entier.

En Afrique en particulier, elle a entraîné des conséquences dramatiques sur le plan familial, social et économique. Pour cette année 2006 elle a été placée sous le thème de : «Stop Sida, Tenons nos Promesses» C’est dans cette perspective qu’AZUR Développement a rejoint cette initiative en célébrant elle aussi ce Vendredi 1er décembre 2006 dans ses locaux la journée mondiale du VIH Sida, ont pris part à cette rencontre les membres d’AZUR.

Il y avait une série de questions réponses qui a attiré l’attention de tout un chacun, c’était un partage très enrichissant dans la mesure où nous avons eu la contribution de chaque membre.Plusieurs questions ont été posées à savoir

· L’origine du VIH Sida, comment se transmet le VIH? · Pourquoi être solidaire avec les personnes vivant avec le VIH/SIDA?

La sensibilisation dans les zones rurales et pleines d’autres questions. Tout en saluant les efforts fournis par AZUR Développement dans le cadre de son projet de soin palliatif des personnes vivant avec le VIH Sida un membre d’AZUR souligne le fait que même si les grandes campagnes de sensibilisation ont réussi à attirer l'attention de la population sur les moyens de contrer la transmission du virus, il constate toujours avec crainte l’augmentation des autres infections sexuellement transmissible.

Ces augmentations pour les autres infections signifient qu'il y a eu un relâchement dans les habitudes et il suffit de penser qu'au lieu des maladies sexuellement transmissibles c’aurait pu être le sida.

Ce qui veut dire que la population n’est pas encore assez responsable de ses actes. Un autre membre a ajouté que le sida se féminise de plus en plus chaque jour au Congo des jeunes filles de 15 à 24 ans sont infectées par le Vih ce qui veut dire que la femme est plus exposé que l’homme dans cette question du VIH/SIDA.

En ce qui concerne la solidarité, il a été dit qu’elle est très importante dans la lutte contre le Sida, il faut lutter contre l’indifférence, le rejet, la discrimination pour éviter d’aggraver l’état du PVVIH. A la fin de la discussion les participants ont reçu des stylos et posters sur le VIH.

Cynthia Tchizimbila