mercredi, septembre 25, 2013

« La formation sur le Web 2.0 : un échange horizontal entre experts »


Ingénieur en agroalimentaire, spécialiste dans la transformation et la valorisation des agro ressources tropicales, Evard Davy Silou Koukodila a participé à la mise en œuvre d’une plateforme de la formation elearnig avec le CNAM de Nantes, à la mise en œuvre d’une ligne pilote de fabrication de jus de fruit avec le MAE Français. Il est aussi ingénieur en système d’information et en architecture réseau. Il exerce dans les TCI depuis 10 ans. Un des formateurs à la formation sur le Web 2.0 et atelier d’échanges, organisée par le CTA en collaboration avec AZUR Développement  du 16 au 20 Septembre 2013 à Brazzaville, il nous a livré une interview au terme de la formation.

Vous avez été un des formateurs sur la formation sur le Web 2.0 et un atelier d'échanges du projet ARDYIS. Comment avez-vous trouvez le niveau des participants ?

Avant de répondre à cette question, je souhaite d’abord louer l’initiative conjointe entre le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) et AZUR Développement qui ont manifesté l’envie d’introduire ce genre de formation dans un environnement qui est loin de remplir les conditions de la formation et de la mise en œuvre du Web 2.0. Ma participation a été particulièrement sur la valorisation des outils du Web 2.0 dans le développement d’une activité agricole afin de voir comment une activité agricole peut avoir davantage visible, mieux vendue sur la toile et connue par le large public  internet qui puisse exister non seulement au Congo, en Afrique et dans le monde.

Je souhaiterai ici souligner le niveau très appréciable des apprenants qui ont participé à cette formation parce que, c’est d’abord des professionnels, c’est des gens qui connaissent bien leur domaine et c’est des gens qui ont besoin d’exceller, d’être efficace, d’être international en utilisant les outils du Web 2.0. Les outils du Web 2.0, c’est l’utilisation efficience et efficace d’une fonctionnalité ou d’un service comme Google et c’est aussi l’utilisation des outils très connus des Réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter. Comment est ce que ces outils qui, de prime à bord, peuvent paraître comme des outils de loisirs et peuvent être efficaces, peuvent être des outils de réseautage et d’apprentissage dans les domaines respectifs des uns et des autres. C’est le cas échéant dans le développement agricole en Afrique. Voilà un peu ce que je peux dire en termes de qualité de formation, en termes de choix de formation et en termes de niveau de participation des apprenants.

Quel est le lien qu’on peut faire entre le Web 2.0 et le domaine agricole ?  
Le domaine agricole ou l’agriculture est un domaine classique de transformation des produits agricoles, de valorisation des produits agricoles qui est connu de tous et qui a des spécificités. Le Web 2.0 ce sont des outils qui ne nécessites pas d’avoir des prés-requis, des outils informatiques, des outils ergonomiques, ils peuvent être utilisés par n’importe quel domaine de compétence : en finances, en agriculture et bien d’autres domaines. Ces sont des outils transversaux qui permettent à un expert d’optimiser son travail, d’être beaucoup plus visible et d’être pertinent non seulement au niveau de son environnement immédiat mais sur la toile internet, puis qu’on parle de la globalisation aujourd’hui.

Au fait, c’est quoi le Web 2.0 ?

Alors, le Web 2.0 ce sont des outils personnalisables intuitifs et utilisables par déclic, par de pointés déposés, par de copier-coller qui sont des bases d’un internaute novice. C’est ça la particularité du Web 2.0 par rapport au Web 1.

En tant que l’un des formateurs à cette formation sur le Web 2.0, quelle  leçon pouvez-vous tirer au terme de cette celle-ci ?

Ce que j’aimerais préciser, c’est que j’ai été formateur, mais j’avais en face de moi des apprenants et non des élèves. La différence c’est que un apprenant c’est déjà un expert dans un domaine pointu et qui souhaite renforcer ses compétences dans un domaine spécifique dans notre cas, le Web 2.0 ou l’interactivité entre le Web et l’agroalimentaire, la question que j’ai traitée. Pour moi cette formation sur le Web 2.0 a été un échange horizontal entre experts, un enrichissement réciproque et je sors de là très satisfait.


Propos recueillis par Jean Thibaut Ngoyi

mardi, septembre 24, 2013

Le Web 2.0, un fer de lance pour promouvoir le développement du monde rural

De nationalité camerounaise, Juliette Tamoifo a pris part à la formation sur le Web 2.0, organisée par le CTA, en collaboration avec AZUR Développement du 16 au 20 Septembre 2013 à Brazzaville. Juliette, représentante de l’Association Jeunesse Verte du Cameroun qui, travaille en même temps dans un projet qui s’intitule « Projet Organisation et Développement des Communautés », nous a accordé une interview au terme de celle-ci.

Vous venez de participer à une formation sur le Web 2.0. Est-ce que  c’est pour la première que vous venez de participer à une telle formation. Si oui, comment vous l’avez trouvée ?

Effectivement, c’est pour la première fois que j’effectue une formation sur le Web 2.0 et pour être honnête, c’était vraiment très édifiant, très intéressant. Il faut le dire parce que j’avais des appréhensions. Je me disais que le Web 2.0 renvoyait à un mot purement technique, informatique. Puisque je suis de formation littéraire, du coup pour moi, je prenais la chose comme étant très difficile. Avec tout ce que nous avons fait, les encadreurs, leurs communications, les interventions, les échanges, je pense que j’ai été agréablement surprise de savoir que je peux m’approprier de ces outils et je peux faire un bon usage dans le domaine que j’ai fait, précisément dans le domaine de la communication (les relations publiques) mais aussi dans le domaine associatif parce que, j’ai aussi des responsabilités dans ce domaine là. Je pense qu’avec cet outil, je serai appelée à informer davantage ceux avec qui, je suis dans l’association et pourquoi pas d’autres jeunes, associations dans mon pays pour que eux aussi, ils bénéficient tout ce que j’ai eu ici dans le cadre de cette formation.

On dit souvent que l’agriculture c’est l’affaire du paysan. Est ce que le Web 2.0 est une façon de pouvoir valoriser l’agriculture aujourd’hui ?

Je dirais tout de suite que c’est vraiment pour valoriser l’agriculture. Je pense que s’il existe le Web pour autre chose et qu’aujourd’hui, on pense qu’il est nécessaire de parler de l’agriculture avec le Web, pour moi, c’est vraiment quelque chose bien, de formidable. Je pense que c’est quelque de bienvenue parce que ça va apporter des solutions et pour parler vraiment de l’agriculture en faisant le lien avec le projet que j’ai évoqué tout à l’heure, nous allons vraiment auprès des communautés, sur le terrain, et nous voyons comment c’est difficile pour des populations qui y vivent dans des régions rurales de pouvoir non seulement prendre soin des production des produits, mais aussi de l’aide d’écouler la production. Donc, c’est vraiment un outil qui va aider, faciliter le développement du monde rural.

Vous venez de participer à la formation sur le Web 2.0. Qu’est ce qui va changer dans votre manière de faire ?

Je pense, ça même déjà changé ma vision parce que, pour moi, le changement il va de l’intérieur, c’est d’abord un changement de mentalité. Si pour moi dans la tête j’ai compris les enjeux, tout l’intérêt de la chose, je pense que ça déjà changé et c’est à moi de savoir comment je pourrai mettre cela au bénéfice de mon association, aux communautés où nous travaillons. Ça suscite beaucoup de choses, ça donne beaucoup d’idées et il m’est vraiment difficile de pouvoir commencer à donner ses idées, parce que ça cogite.

Comment avez-vous trouvez l’initiative CTA–AZUR Développement d’organiser cette formation à l’endroit des jeunes au Congo Brazzaville ?

C’est une bonne initiative. Elle est la bienvenue. C’est quelque chose qu’il faillait pour encourager les jeunes qui y vivent dans des régions rurales à mieux se développer, à mieux améliorer leurs conditions de vie. C’est nue belle initiative. J’encourage le CTA et AZUR Développement à multiplier des ateliers, à faire surtout le suivi parce que c’est aussi important qu’à la fin, qu’on puisse avoir des résultats et qu’à un certain moment qu’on invite les participants pour dire voici les réalisations et qu’on soit tous fiers ce que cette formation aurait produite.

Le CTA organisera un prix « Yoblogo » en 2014. Peut-on oser dire qu’à la fin de cette formation sur le Web 2.0 que ce prix reviendra à l’Afrique centrale ?

Alors, là c’est évident. On a tous les outils. Le travail c’est maintenant individuel, de travailler en groupe. On peut se mettre en deux ou à cinq, je pense que selon le terme de références de la compétition, et si nous sommes attentives, et si nous avons tous la volonté, je pense que nous avons toutes les chances de remporter cette fois-ci ce prix.


Propos recueillis par Jean Thibaut Ngoyi

samedi, septembre 21, 2013

Le Web 2.0, une technologie qui ouvre les portes aux jeunes

Mardi 17 Septembre 2013, au Campus Numérique Francophone de Brazzaville, le deuxième jour de la formation sur le Web 2.0 s’est poursuivit avec d’autres modules.

Les participants ont abordé d’autres outils du Web 2.0. Cette deuxième journée a été plus pratique que théorique. Au cours de celle-ci, les participants ont commencé par comment faire une alerte sur Google, comment faire la cartographie d’une ville, d’un pays, d’une zone donnée en utilisant les services de Google. Mr Anky, un des formateurs a à cette formation a expliqué qu’avec maps.google.cg, vous pouvez créer des cartes. Il a précisé que Google Maps est un service en ligne. Pour avoir accès à ce service, il faut être connecté. Par contre, Google Earth est un service qui est téléchargeable. Une fois téléchargé, vous pouvez l’installer dans votre ordinateur puis en faire usage sans même être connecté.





Pour ce qui est de la cartographie, le formateur a demandé aux participants s’ils savent déjà faire la cartographie et à quoi sert-elle ? Affirmative pour certains participants qui l’utilisent déjà mais pour d’autres, c’est vraiment nouveau. Le formateur a défini la cartographie comme étant un outil qui permet de faire la localisation géographique d’un pays, d’une ville ou d’une certaine zone donnée. Cette localisation se fait avec le Web 2.0 en utilisant le logiciel ARCGIS ou le MAPINFO.

Le Web 2.0, aujourd’hui ?

A ce stade, les participants ont appris comment créer une carte pour faire la localisation d’un point dont on souhaite mettre un accent particulier puis comment faire la personnalisation en cas de nécessité et la partager au public. D’après Carole, une participante du Cameroun, elle a beaucoup apprécié le module de la cartographie. Elle fera désormais des cartes puis partagera à ses amis.  « J’ai appris avec beaucoup de satisfaction comment créer les flux RSS, son blog comment le gérer et comment publier un article sur le blog. J’ai appris également Igoogle qui me permettra d’agréger, d’associer tout sur mon bureau », témoigne Carole.




L’ont peut donc comprendre que cette formation est très utile pour les vingt apprenants qui, désormais, utiliseront tous ces outils pour valoriser le domaine agricole, faire en même temps le marketing agricole à travers le Web 2.0. Idriss Bossoto, un participant du Congo Brazzaville, pour sa part pense que il lui faillait cette formation, car on apprend tout tous les jours. Il dit« Je savais déjà manipuler un certain nombre d’outils, mais avec cette formation sur le Web 2.0, j’ai découvert d’autres outils comme Igoogle, Digg reader en tant que lecteur de flux RSS. J’ai également appris Google Maps. Le plus important pour moi, c’est que, j’ai appris à créer le blog, le personnaliser, publier des articles, ajouter des photos aux articles et porter des modifications sur un article ».

Jean Thibaut Ngoyi

mercredi, septembre 18, 2013

Les jeunes s’approprient des outils TIC pour la promotion de l’agriculture

Vingt (20) participants, tous des jeunes hommes et femmes, en provenance du Cameroun, de la Centrafrique, du  Congo, de la République Démocratique du Congo, de Sao Tome et Principe,  et du Tchad participent à la formation sur le Web 2.0 et un atelier d'échanges  du projet ARDYIS, organisée par  le Centre Technique de Coopération Agricole  et Rurale (CTA) en  collaboration  avec  l’ONG AZUR Développement du 16 au 20 Septembre 2013. Cet atelier  se déroule  au Campus Numérique Francophone Universitaire Marien Ngouabi de Brazzaville.


                                  Le formateur en pleine explication

Parmi les notions à développer, l’ont peut citer : la création des blogs, réseaux sociaux, micro blogging et parmi tant d’autres. Cette formation a pour objectif de renforcer les capacités des jeunes  dans l’usage des TIC pour la promotion de l’agriculture. Il faut dire que le développement d’un pays s’accompagne de l’épanouissement des jeunes dans tous les domaines. Cela reste une préoccupation majeure au vingt une siècle. C’est pourquoi l’on ne saurait parler d’une véritable intégration sans parler de l’importance des technologies  de l’information et de la communication (TIC) dans le domaine agricole.

Selon Sylvie Niombo, Directrice exécutive d’AZUR Développement, cet atelier s’explique par le fait que lors d’un précédent concours organisé par le Projet ARDYIS, le CTA a constaté une faible participation des jeunes de l’Afrique Centrale. Aussi, dans le souci  d’encourager la participation des jeunes de cette région, à participer au concours de blog « Yo Bloco Awards » du projet ARDYIS du CTA, dont le lancement de la deuxième édition est prévue avant la fin de cette année.

Web 2.0,  un outil performant
Pendant le premier jour de la formation, une introduction sur le web 2.0 pour le développement a été faite par les formateurs. La notion de Web 2.0 pour le développement est un concept qui paraît nouveau pour certains participants, mais familier pour d’autres. Le Web 2.0 couvre multiples applications, outils, méthodes et technologie. C’est un outil indispensable pour le développement et pour la promotion de l’agriculture et les TIC. Avec cet outil,  il est possible de réaliser différentes choses telle que cherche des informations ou vendre des produits agricoles sur internet. La projection d’une vidéo des femmes pendant la formation montrant les femmes en train de naviguer. Elles cherchent des informations sur différents domaines puis d’échanger avec d’autres et effectuer des recherches...

 Les formateurs ont apporté des explications pour illustrer ce que c’est qu’un blog : « un blog ne peut loger que des informations que l’on juge utile et qu’on veut partager avec les autres. Il n’est pas réservé aux journalistes, mais tout le monde peut rédiger un blog, à condition de respecter les conseils. Le blog vit au quotidien et doit avoir un titre accrochant », a précisé l’un des formateurs.
 Les participants ont également appris les notions sur la recherche avancée sur Google et les différents services que Google offre en tant moteur de recherche et bien d’autres concepts sont nouveaux telsque : IGoogle, flux RSS, Maps … Une partie très animée par les interventions des participants qui ont déjà la maitrise de ces outils, l’un des formateurs a déclaré : « je veux qu'après cette formation, les participants puissent créer un groupe d’échanges en utilisons les outils TIC appropriés pour le développement et l’agriculture
Blandine Louzolo



Près d’une vingtaine de jeunes en formation sur le Web 2.0 à Brazzaville



La formation sur le Web 2.0 et un atelier d'échanges  du projet ARDYIS a démarré hier lundi 16 Septembre 2013 à Brazzaville, au Campus Numérique Francophone. Organisée par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA), en collaboration avec l’ONG AZUR Développement, celle-ci se focalise sur les blogues et les média sociaux, cette formation se tient dans le cadre du lancement de la deuxième édition du concours de blogs «YoBloco Awards » (Prix des meilleurs blogs sur la jeunesse et l’agriculture) organisé par le projet ARDYIS.

Vingt un participants en provenance des plusieurs pays d’Afrique notamment du Cameroun, Centrafrique, Tchad, Sao tomé, RD. Congo et Congo Brazzaville prennent part à celle-ci. Au cours de ce premier jour, les participants ont abordé des notions liées au blog, au fonctionnement du blog puis sur la recherche avancée. 



                                                  Une vue des participants illustrant 
                                                          le débat sur le Web 2.0

Pour M. Guillaume, un des formateurs à cette formation, le blog est un outil qui permet d’échanger. Il a un contenu, une charte graphique, une ligne éditoriale, des rubriques. On peut même le personnalisé pour les rendre artistique. « Dans le blog, la publication des informations va du plus récent au plus ancien. Il faut, dès les premières lignes, donner l’information que vous voulez communiquer au public. Le style d’un blog doit être simple, clair, précis et concis. Des articles longs (03 pages) ne sont pas accrocheurs. Il faut écrire des blogs d’une page et demi pour faciliter la lecture », a indiqué M. Guillaume. Il poursuit «le blog ne doit pas afficher directement l’article, mais il doit présenter le titre de l’article ou le résumé de l’article pour attirer le lecteur. »

Une formation captivante
Cette partie a suscité de l’engouement de la part des participants. Cas par exemple de la recherche avancée sur Google, flux RSS. Pour une des participantes à cet atelier de formation et d’échanges sur le Web 2.0, elle a appris des éléments nouveaux au cours de cette première journée de la formation tels que : l’importance du flux RSS, la recherche avancée sur google, la recherche ciblée. « Ceci est un plus que je viennes d’ajouter à ma connaissance. Mais J’ai constaté qu’il y a des participants qui ont posé des questions anticipées, alors qu’il faillait attendre le moment », a témoigné cette dernière.

D’autres participants ont également apprécie ce premier jour de la formation, reconnaissant l’importance d’une telle formation sur le Web 2.0 et un atelier d'échanges. A l’image de Roger, un participant de la RD Congo, délie sa langue «J’ai découvert comment faire une recherche avancée en utilisant les options de google  et comment filtrer la recherche.  Cela m’a donné une connaissance sur le fonctionnent des technologies du Web 2.0 pour le développement, car à partir delà, je peux faire beaucoup de choses avec cet nouveau outil de technologie… »

Les TIC et l’agriculture ?
Cet atelier de formation et d’échanges s'inscrit dans le mandat du CTA pour faciliter l'accès et la diffusion de l'information dans les domaines de l'agriculture et du développement rural en Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP). Au cours de ces cinq jours de travaux (du 16 au 2oSeptembre 2013), les participants auront de l'expérience sur l’animation de blogues et autres outils internet dédiés à l’agriculture et au développement rural. L’atelier comprendra aussi des séances d'échanges sur l'utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l'agriculture qui se tiendront le dernier jour de la formation.



En rappel, lors des précédents concours organisés dans le cadre du projet ARDYIS, une faible participation a été notée dans certaines régions ACP, notamment en Afrique centrale. L'atelier est donc organisé suite à ce constat et en tenant compte les recommandations faites par les jeunes, afin d'encourager la participation de ces régions.
 Jean Thibaut Ngoyi