Marina (nom changé pour conserver l’anonymat), maigre, a des crampes et des plaies aux narines. Elle bénéficiera du traitement sous Antirétroviraux (ARV) grâce à l'appui d'AZUR Développement.
Elle est vraiment démunie. Un membre de l’association ESPOIR qui soutient les personnes vivant avec le VIH/SIDA, était obligé de lui donner 2000 FCFA (soit 4 US $) pour la consultation et transport au Centre de Traitement Ambulatoire (CTA) de Pointe-Noire, où l’on soigne les malades. Il n'y a que sa sœur cadette qui connaît sa sérologie. Dépistée en 2004, son amant est décédé en 1992.
Elle pourrait vendre au marché de Nkouikou si elle retrouvait la forme.
Fanny (nom changé pour conserver l’anonymat) , paralysée, a perdu sa mémoire à 30 ans. Elle est terrassée par la maladie et sa famille s’occupe de ses deux enfants. A la visite de notre équipe à Pointe-Noire, elle arrivait à peine à articuler les mots.
Selon sa famille, elle a du mal à parler. Mais grâce à la visite, elle a pu reconnaître le membre de ESPOIR et a tenter de bien s’exprimer.
« En fait elle a retrouvé certaines de ses facultés grâce à la visite. Elle souffre aussi de l'hypertension artérielle. »
« Demain nous continuons les visites à domicile »
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